#668 - Gibson Les Paul Standard Gold Top Mary Ford
22 novembre 2024
Sans surprise, l'épouse de Les Paul avec lequel elle a formé un duo durant les années 1950 jouait sur des Gibson. Son nom est plutôt associé à la Les Paul SG Custom, mais cette reissue s’inspire d’un modèle de 1958 réalisé à son attention.
Cette déclinaison signature se distingue d’une Gold Top « ordinaire » par certains aspects esthétiques comme le pickguard allongé, typique des modèles ES-295, la présence inhabituelle d’un arm rest, tous les deux assortis en coloration floral cream, ainsi qu’un corps et un manche en finition Cherry, plutôt rare sur une Gold Top généralement en finition naturelle.
Cette déclinaison signature se distingue d’une Gold Top « ordinaire » par certains aspects esthétiques comme le pickguard allongé, typique des modèles ES-295, la présence inhabituelle d’un arm rest, tous les deux assortis en coloration floral cream, ainsi qu’un corps et un manche en finition Cherry, plutôt rare sur une Gold Top généralement en finition naturelle.
Pour les reste, on retrouve les caractéristiques de la Les Paul Standard avec un manche collé au profil slim taper et un corps en acajou surmonté d’une table en érable. La touche en palissandre possède 22 frettes medium jumbo qui ont subi un traitement cryogénique, un traitement thermique destiné à renforcer la structure moléculaire du métal pour le rendre plus résistant à l'abrasion. Le radius est de 12 in. (305 mm). Le sillet Graph Tech fait 43 mm de largeur. Le diapason est au standard de la marque avec ses 24,75 in. (629 mm).
L’accastillage nickel est composé d’un cordier en aluminium Stop Bar et d’un chevalet ABR-1 Tune-O-Matic, associés à des mécaniques vintage surmontées de boutons de type keystone. Le arm rest, un dispositif courant dans les années 50 présent à la fois pour l'esthétique et assurer un meilleur confort de l'avant bras, est monté avec deux brakets (supports en forme d'équerre) à l'instar du pickguard.
L’accastillage nickel est composé d’un cordier en aluminium Stop Bar et d’un chevalet ABR-1 Tune-O-Matic, associés à des mécaniques vintage surmontées de boutons de type keystone. Le arm rest, un dispositif courant dans les années 50 présent à la fois pour l'esthétique et assurer un meilleur confort de l'avant bras, est monté avec deux brakets (supports en forme d'équerre) à l'instar du pickguard.
L’électronique s’articule quant à elle autour de deux micros humbucker : Bursrtbucker 3 en position chevalet et Burstbucker 2 en position manche. Ils possèdent chacun leur volume et leur tonalité (condensateurs Orange Drop) et un toggle switch à trois positions.