#069 - Roland JC-40
07 août 2015
" Petit, petit, petit, Tout est mini dans notre vie ". Jacques Dutronc le chantait déjà en 1966 et la tendance se poursuit aujourd'hui.
Roland succombe également à cette tendance, après bien d’autres comme, Orange et le Micro Terror, Ibanez et sa Tube Screamer Mini, Jim Dunlop avec sa Cry Baby Mini Wha ou encore TC Electronic et la déclinaison de son Delay Flashback. Il n’y a guère que les guitares, diapason oblige, qui ne passent pas à la moulinette, quoi que Ned Steinberger en son temps ou la Chiquita Travel Guitar de chez Erlewine Guitars, chère à Johnny Winter, s’y sont essayés.
Roland succombe également à cette tendance, après bien d’autres comme, Orange et le Micro Terror, Ibanez et sa Tube Screamer Mini, Jim Dunlop avec sa Cry Baby Mini Wha ou encore TC Electronic et la déclinaison de son Delay Flashback. Il n’y a guère que les guitares, diapason oblige, qui ne passent pas à la moulinette, quoi que Ned Steinberger en son temps ou la Chiquita Travel Guitar de chez Erlewine Guitars, chère à Johnny Winter, s’y sont essayés.
Le Jazz Chorus JC-120 est un ampli surprenant à plus d’un titre. C’est un ampli à transistors. C'est un ampli japonais. Il avait tout pour être snobé. Pourtant, depuis 40 ans, il traverse les décennies sans prendre une ride et sans que son succès ne se démente.
Il a pour lui une clarté légendaire (de l’intérêt des transistors parfois). Mais en plus c’est un ampli stéréo 2 X 60 watts, qui permet à son chorus de s’exprimer pleinement. Plutôt destiné au jazz, comme son nom l’indique, il a quand même séduit des références comme The Edge ou Andy Summer, Robert Smith ou Adrian Bellew. Il y a même quelques « métalleux » qui, même s’ils ne s’en vantent pas trop, l’utilisent en studio pour des parties en son clair. On peut citer, par exemple, Metallica sur l’intro de Nothin Else Matters.
Avec le temps c’est devenu une référence incontournable. Il a été décliné en de multiple versions, même en double corps avec baffle deux ou quatre HP.
Aujourd’hui Roland le sort dans une version réduite de 40 watts, toujours en stéréo et avec le même son clean de son grand frère. Il a la même gueule que son ancêtre ce qui le rend immédiatement reconnaissable.
Son avantage reste son son neutre et riche qui ne colore pas le son de la guitare. Si vous utilisez beaucoup d’effets, c’est une base idéale. Il possède bien sûr une boucle d’effets stéréo pour les insérer avec plus d'efficacité. Il embarque d'origine un chorus stéréo, un vibrato, une distorsion et une reverb. Ces effets peuvent être pilotés par des footswitches pour allumer/éteindre ces effets au pied.
Il est monté avec deux haut-parleurs de 10 pouces (25,4 cm). Côté contrôles, on trouve un volume, une égalisation classique à triple bande (treble, middle et bass), un dosage de la distorsion et un autre pour la reverb. Un switch permet de passer du chorus au vibrato qui sont pilotés par un potar de speed (vitesse) et un autre de depth (profondeur). Il y a également un switch de bright qui ajoute, lorsque le volume n’est pas à fond, un peu plus d’aigus. Il possède une sortie casque, toujours pratique à la maison.
Il a pour lui une clarté légendaire (de l’intérêt des transistors parfois). Mais en plus c’est un ampli stéréo 2 X 60 watts, qui permet à son chorus de s’exprimer pleinement. Plutôt destiné au jazz, comme son nom l’indique, il a quand même séduit des références comme The Edge ou Andy Summer, Robert Smith ou Adrian Bellew. Il y a même quelques « métalleux » qui, même s’ils ne s’en vantent pas trop, l’utilisent en studio pour des parties en son clair. On peut citer, par exemple, Metallica sur l’intro de Nothin Else Matters.
Avec le temps c’est devenu une référence incontournable. Il a été décliné en de multiple versions, même en double corps avec baffle deux ou quatre HP.
Aujourd’hui Roland le sort dans une version réduite de 40 watts, toujours en stéréo et avec le même son clean de son grand frère. Il a la même gueule que son ancêtre ce qui le rend immédiatement reconnaissable.
Son avantage reste son son neutre et riche qui ne colore pas le son de la guitare. Si vous utilisez beaucoup d’effets, c’est une base idéale. Il possède bien sûr une boucle d’effets stéréo pour les insérer avec plus d'efficacité. Il embarque d'origine un chorus stéréo, un vibrato, une distorsion et une reverb. Ces effets peuvent être pilotés par des footswitches pour allumer/éteindre ces effets au pied.
Il est monté avec deux haut-parleurs de 10 pouces (25,4 cm). Côté contrôles, on trouve un volume, une égalisation classique à triple bande (treble, middle et bass), un dosage de la distorsion et un autre pour la reverb. Un switch permet de passer du chorus au vibrato qui sont pilotés par un potar de speed (vitesse) et un autre de depth (profondeur). Il y a également un switch de bright qui ajoute, lorsque le volume n’est pas à fond, un peu plus d’aigus. Il possède une sortie casque, toujours pratique à la maison.
Le morceau pèse quand même près de 16 kilos. Ce qui reste léger si on le compare aux 28 kilos de son vénérable prédécesseur.
On le trouve à un peu plus de 700 EUR. A environ 45 EUR le kilo, ça qui reste un bon rapport qualité prix.
Pour en savoir plus :
Roland
On le trouve à un peu plus de 700 EUR. A environ 45 EUR le kilo, ça qui reste un bon rapport qualité prix.
Pour en savoir plus :
Roland